Le repositionnement de l’Atlas par Sophie…
Comment vous expliquer cela…
Les mots pour décrire les effets du repositionnement de l’atlas sont rapidement dithyrambiques.
Les mots ne suffissent pas.
Il y a une impression d’habiter dans un nouveau corps, tout symétrique, tout léger, tout naturel. Et de se demander comment et pourquoi nous avons pu vivre tout ce temps, de travers.
Comme cette sensation lorsque vous vous enfilez sous des draps propres et repassés après plusieurs mois de même draps.
Et puis un corps ouvert, la voie libérée. Les anciennes douleurs disparaissent progressivement.
L’énergie est circulante et s’accroit.
La sensation d’équilibre, le gout de la verticalité changent.
S’il ne fallait retenir que deux adjectifs se seraient, la plénitude et la liberté.
Tout cela se fait progressivement. Cela pétille, cela crépite dans le corps, cela se remet en place tout seul progressivement. Et l’on s’aperçoit par le vécu que le corps ne fait qu’UN, que tout est relié dans le corps.
Et de vivre, dans son corps, l’excitation de la fleur qui éclot, s’ouvre et s’épanouie.
Oui tout cela est dithyrambiques et encore peu élogieux.
La seule question que je me pose est pourquoi cette technique n’est pas obligatoire et pourquoi Sophie n’est pas totalement submergée par les demandes.
Car il faut parler également de la patricienne, d’une grande pédagogie, d’une grande bienveillance et d’une grande humilité.